Sunday, October 22, 2006

LA JOURNEE D'UN RESPONSABLE D'ANTENNE

LA JOURNEE D’UN RESPONSABLE D'ANTENNE


Ce texte au de là de son caractère humoristique (et j’entend siffler les balles pour avoir écrit le mot caractère – rires) à le mérite (en cet instants certains succombent pris de syncopes à la lecture du mot ‘mérite’) Le mérite de rappeler que le métier de responsable d’antenne n’est pas un métier facile, se lever à l’aube pour bosser toute une partie de la matinée sur la dure question des quotas de chaussettes noires à ne pas dépasser en semaine. Sans compter l’épineuse question du minutage parfait pour avoir une tasse de ‘Benco’ à la température idéale. Prendre de réels risques dés les premières heures du jour, choisir les biscottes aux BN, quel courage, et si la biscotte venait à chuter.

A peine arrivé à la radio, c’est de suite la course, un rythme qui ne laisse pas le temps de souffler, il est déjà midi, il faut aller manger, un bon restau tout les jours, c’est un vrai boulot de trouver ça au milieu de cette forêt de québab et d’américains’. L’occasion pour « le chef » de montrer son sens aigu de l’humour : « Mes amis ! Y a-t-il une assiette après le casse-croûte ? Où est-la l’horizon culinaire de cette ville offerte aux affaires et au tourisme ? Ah ah ah » Ce qui fera rire la traîne comme pucelles aux lèvres du roi Soleil.

15 h 21, une minute de retard, dans l’ascenseur i Il s’en veut, il donne un coup rageur dans la porte, mais comme toujours sa main s’arrête à quelques centimètres de la porte. Elle finit par s’ouvrir, et le voila en présence de cette horde (surnommée par ses bons soins : t…. du ..l faux c.ls (rire) jusqu’à la moel..) qu’il va devoir saluer avec un sourire qu’il est de plus en plus dur de dérober à la Joconde.

15 h 37 : Il est debout derrière son bureau, immobile, à répéter ces mots à voix basse: « Mais qu’est-ce que je fout là ? Je me casse ! »

Le téléphone, (cet en…… de téléphone comme il le nomme si souvent en pensées) le tire de ce mauvais pas, fruit de la lucidité. C’est son responsable :Sans frapper, sans tarder il lui demande : « Et ces clubs de golf c’est réglé, c’est bon pour ce week-end ? »

15 59 : Le responsable repart d’oû il vient, cet à dire à portée de main du flipper offert récemment, qui gène le passage dans le couloir.

16 h 52 : Il se félicite de ne pas avoir voyagé sur le Titanic, et de cette longue séance de travail qu’il vient d’achever (oui un travail !) presque une heure non-stop à penser à ne rien penser. Il se sent léger et heureux, se tournant vers la fenêtre il pense que ce travail sur lui-même servira la bonne marche de la radio.’ Il en est persuadé comme dans sa tête que 125 et 125 font 350.

21 H 23 : Il est toujours à la radio, il se réveille, ses paupières sont lourdes, il ne voit que lui dans le reflet de son bureau de verre ; il n’entend que sa voix, ne se concentre que sur elle, il dit : ‘j’ai sommeil’.

21 h 24 : Il s’est lui-même hypnotisé.

22 h 17 : Il retrouve toute sa raison : ‘il est tard ! Il faut que je rentre !’ lance t’il fièrement, comme après avoir vaincu une journée interminable.
Demain matin en arrivant au travail il ne culpabilisera pas, il prendra cette bonne excuse du énième plantage du réseau interne informatique de la radio, il pestera devant du monde de préférence : ‘Ce zut de flûte de réseau informatique est encore inopérant ! Je vais songer à rédiger un mémoire sur l’incompétence de certains ! Impossible de faire quoi que ce soit !
Ce qu’il pensera mais ne dira jamais : ‘Pas de Radio Actu…. Pff, pas de mails a envoyer aux copains… pff, pas de filles nues qui tournent un très spécial ‘30 Millions d’Amis’ en compagnie de Bourriquet et Beethoven. (A voir comme ils sont chauds les personnages chez EuroDisney ça risque de valoir le coup)
Le responsable de programme sans Internet il bugge, il bloque, vous avez beau faire risette, le système a comme une ‘sérieuse fêlure’, il perd ses couleurs et passe en mode échec.


Ceci n’est bien sûr qu’une parodie du métier qu’est celui de responsable d’antenne, celui qui tient l’antenne est le plus exposé aux foudres d’en haut.
Alors la prochaine fois que vous croiserez le votre et que vous constatez qu’il n’est pas encore équipé, cotisez vous, allez lui acheter un para foudre.

Oué ! big up à tous les chefs de programmes, spécial dédicace à Patricia Kaas, à tout le quartier de d’sous les ponts, à la zonzon, à Bertrand, hey mec on les a pas écouté ces …. On n’a jamais arrêté d’passer tes scuds ! Le bélanger on l’aime pour son pain. Quoi ? qu’est-ce que j’ai dis ? Ah oui, bélanger au lieu de boulanger, oh il en fait de jolies aussi, Bellanger, des miches, Tabatha Cash (Beat) entres autres. Spécial dédicace au quartier, Hélène j’te kiffe grave la vib’Et à tous ceux qui ne se reconnaîtront pas dans cette fable.C’est l’heure, couvre FUN ! On éteint des plafonniers, allumage de la boulette à Fossettes qui attire les Brigitte, sur la platine de gauche che che che ‘She’s fresh / Kool & the gang !


R A D I O

BEUR FM : Marine Lepen au reveil !Pour mettre du beurre dans ses épinards BEUR FM invite la crémière, morceau choisi : « Mon père n’est pas raciste ! »Après un gars de la radio explique : « les auditeurs ne sont pas dupes »

GIVE ME NIGHTD’un week-end à l’autre j’ai toujours l’impression au bout de 4 disques d’entendre toujours la même émission, avec les mêmes 200 disques et on fait tourner dans un ordre différent.Cela doit être une simple impression, et non la r »alité, mais tout de même cette impression de déjà vu qui va avec elle doit bien trouver une certaine résonance dans les faits.
Là je peux m’arrêter, j’ai maintenant les amis d’RFM qui vont débouler, je stoppe là, trop ce serait de la gourmandise.Friandises pour vous !


Cyril C

Friday, October 20, 2006

PEAU AIME

Peau aime
Tète ma verge
Suce mon sens
Goutte mon essence
Embrase-moi
Elle dit :
Falus, devient colonne maîtresse en mon palais !
Assise de mes passions, de ma raison
Mon rayon de ciel !
Répand sur mes sols ton extase, fais moi briller de mille feux
Mon Pégase !
Toi mon cheval, je suis ta jument
Montes moi, montres moi
J'ai tressée ma crinière
Pansée mon flanc
Mis mes belles parures.

Investie mes chambres royales
Comme soleil envahie ma chevelure.
Viens épouser mes allées
Viens éclairer de ton phare ce couloir à l'abri des fausses lueurs
Viens chanter ton chant d'amour jusqu'au fond de ma cour

Plante ton cep au milieu de mon domaine
Je ferai pleuvoir de cette pluie d’amour qui donne vie aux sillons
Engendre en moi
Fleuri sur moi
Que naisse ce raisin tant espéré !
Rempli l’osier de mes mères avec ton fruit nouveau.
Cyril C

PEAU AIME

Peau aime
Tète ma verge
Suce mon sens
Goutte mon essence
Embrase-moi
Elle dit :
Falus, devient colonne maîtresse en mon palais !
Assise de mes passions, siège de ma raison
Mon rayon de ciel !
Répand sur mes sols ton extase, fais moi briller de mille feux
Mon Pégase !
Toi mon cheval, je suis ta jument
Montes moi, montres moi
J'ai tressée ma crinière
Pansée mon flanc
Mis mes belles parures.

Investie mes chambres royales
Comme soleil envahie ma chevelure
Viens épouser mes allées
Viens éclairer de ton phare ce couloir à l'abri des fausses lueurs
Viens chanter ton chant d'amour jusqu'au fond de ma cour

Plante ton cep au milieu de mon domaine
Je ferai pleuvoir de cette pluie d’amour qui donne vie aux sillons
Engendre en moi
Fleuri sur moi
Que naisse ce raisin tant espéré !
Rempli l’osier de mes mères avec ton fruit nouveau.
Cyril C

Sunday, October 15, 2006

TAHITI : LE SURF HORS DE PRIX

TAHITI : LE SURF HORS DE PRIX

Qui dit surf à Tahiti dit barrière de corail, qui dit surf sur le Web dit barrière de prix.
Pour ce second ‘sport’, la plus part des Polynésiens restent sur le sable, et regardent de loin les les autres glisser d’un tube à l’autre.

- Offres ADSL - ADSL 128k de 13200 XPF (110,62 €) passe à 9240 XPF (77,43 €) - ADSL 256k de 25300 XPF (212,01 €) passe à 12980 XPF (108,77 €) - ADSL 512k de 36300 XPF (304,19 €) passe à 27940 XPF (234,14 €) - Offres classiques - Forfait 5h : 4180 XPF (35,03 €) devient forfait 5h 3300 XPF (27,65 €) - Forfait 10h : 5280 XPF (44,25 €) devient forfait 15h 4620 XPF (38,72 €) - Forfait 20h : 4590 XPF (38,46 €) devient forfait 30h 7040 XPF (59,00 €) - Forfait 50h : 14520 XPF (121,68 €) devient forfait 70h 12980 XPF (108,77 €) - Forfait 100h : 26070 XPF (218,47 €) devient forfait 120h 21780 XPF (182,52 €)

Depuis le 1er janvier dernier le SMIG serait à 131 000 francs pacifique, est-il besoin d’aller plus loin pour se rendre compte de l’abus ? Je ne pense pas.

L’OPT, l’office des postes et télécommunications ne connaît pas la concurrence, et ce malgré l’arrivée de la téléphonie mobile, de l’ADSL et de la télévision numérique par satellite. (TNS - Tahiti Nui Satellite est l’équivalant de TPS)

Beaucoup vont continuer à faire la planche, ce surf leur étant interdit, pour cause, de « fracture numérique ».

Plus on dénoncera ces agissements moins ils seront acceptables.


Cyril C

H.E.L.E.N.E

Hélène

Le matin, tu me réveilles
Le soir tu me surprends
À midi je pense à toi
Je n’ai pas mal au ventre
Je ne pense pas à ton bas-ventre
Pas de tour, je ne mens pas
Je ne souffre pas le tourment des amants
Mon désir, s’arrête bien plus haut
Que les bas regards sur toi. .

Je t’aime comme un enfant,
Je veux ton visage et tes mains.
Tes doigts sur mes cils,
Ton nez contre mon nez.
Tes yeux dans mon coup
Et tes cheveux partout

Je suis donc en infraction avec un commandement,
Mais ces choses là ne se commandent pas.
J’ai la loi contre moi
Je te convoite trop pour les ‘rouleaux’.
Pour les badauds je finirais sous le rouleau.
« Le compresseur sera ton fossoyeur ».
Ce qu’ils ignorent,
Je t’aime plus que je ne te désire.
Tu n’es pas objet de convoitises,
Pas plus que de bêtises.

Tu es ‘convois exceptionnel’.
Je parle escorte, et non écorce.

Précieuse comme le ventre de 100 galions,
Trésor, tu éteins Alfa du centaure.
Périlleuse comme l’antre d’un dragon,
Des efforts je fais pour avancer sans tort.
Centaure je me voudrais pour t’enlever.

Je t’aime des époux antiques aux époques quantiques.

« Il veut te mener en bateau ! »
Je voudrais te mener en vaisseau.
Du planché des océans au parterre des anges.
Du plancton à Pluton en passant par Platon.
Te faire tout connaître, tout voir.
Dans tes yeux contempler la Grande Maison.

Par ce que nous n’aurons jamais mille et une nuit à nous.
Par ce que les contes sont défaits
Par ce que les tapis sont brûlés
Par ce que les lampes sont brisées.

Je ne te conterai plus les miels des palais sablonneux.
Mais rassure-toi mon étoile, faute de tapis,
Je me ferai ‘ami volant’.
Je continuerai à te porter au firmament.


Petite étoile, tu mènes ma voile
Tu rythmes ma vie
Tu arrimes mes envies.
Tu es si loin et si près à la fois.



Cyril C

JE CLIQUE ET BLOGUE

Je clique sur les photos des uns et des autres, on en voit des vertes et des pas mûres, de toutes les couleurs aussi, de ces 'trucs'.. heureusement que le ridicule ne tut pas, j'en ai vu à poil debout devant la webcame, les mains sur les 'parties', à l'aise comme s'ils allaient passer une visite médicale ; un autre en slip affalé sur son canapé.
Des couleurs on en voit mais les couleurs se mélangent toujours aussi peu, les noirs avec les noirs, les blancs avec les blancs, etc.
Ici peu d'asiatiques (regretable par ce que les filles du soleil levant font lever autre chose - rire)

Des rouges ? Indiens, Amérindiens ? Pas l'ombre d'un, vous peut être.

Et les métis au milieu, souvent le cul entre deux chaises.Quel "joyeux foutoir" le monde.
Et si on secouait violemment le tout pour que les blancs, les noirs, les rouges, les jaunes soient à ce point mélangés qu'il ne s'en trouve plus un pour dire : "Ma raçe et sa raçe..." ? ça ne me déplairait pas, j'aime pas les drapeaux, ceux qui les tiennent sont trop souvent préts à en découdre avec un autre drapeau.

Mon drapeau : la Terre
Ma nation : L'Humanité
Mon pays : Ton coeur

Cyril C

LA FIN DE MON MONDE

La fin de mon monde

Espérance de vie en Afrique : 51 ans pour les hommes et 54 ans pour les femmes.
Europe : 70 ans pour les hommes et 78 ans pour les européennes.
Ces chiffres valent bien des discours sur l’égoïsme des pays riches, et l’on voudra me faire croire qu’il existe une morale à l’échelle planétaire, les Nations Unies pour moi riment avec Etats-Unis.

Amnésie Internationale : Aidez-nous à les oublier

J’en ai marre de ce monde géré par des tarés, des affamés de pouvoir, de fric, et de gloire.

Un Amérindien a dit cela : « Un jour les blancs se rendront compte que l’on ne se nourrit pas avec l’argent ; ce jour là il sera trop tard. »
Les blancs ne sont pas ni meilleurs ni mauvais que les noirs les jaunes ou les rouges mais force est de constater que ce sont eux qui emmènent le monde à sa perte.
S’il vous plait épargnez moi les procès d’intention, ma mère est blonde aux yeux verts.

Quoi faire ? Palabrer toujours et encore sur le délabrement d’un monde devenu intolérable, invivable ?

Commenter le démantèlement des boites crâniennes, avec panache pratiquer une autopsie sur les Apaches, avec brio narrer le chaos chez les Navajos, avec exactitude dépeindre la décrépitude.
Plumes de charognards ! Qui tournent aux dessus des charniers, regards affamés, mots acérés pour décrire en détails les holocaustes d’un siècle qui n’a rien de spirituel.


Cyril C

LE 21e SIECLE SERA SPIRITE ET RITUEL

Le 21e siècle sera spirite et rituel

Esotériques et spirites se taillent la part du lion dans ces populations en quête de « spirituel ».
Ces lions sont les meneurs de ces fauves religions, faux prophètes qui séduisent par des rites sans ages ni sagesse.
Ils font tourner les tables, font tourner les esprits en bourrique, déstabilisent des gens déjà instables, ils parlent aux morts et ne répondent pas aux vivants, ils jettent des sorts, ramassent des sous, sont en dessous de tout et restent au dessus de tout soupçons pour leurs nouveaux adeptes.
Ils incarnent le ou la magicienne qui a nourrit l'imaginaire des enfants qu'ils étaient.


Depuis des millénaires la ruine a été annoncé, non par pas ces sinistres voyants qui devinent des conspirations dans les constellations, mais par des hommes et des femmes qui avaient une grande connaissance de la nature humaine, le visionnaire applique ce principe : Voir c’est prévoir.
Ecartées ! toutes ces puteries véhiculées par les cartes.

Tout est empoisonné, les rivières, les mers, le ciel larmoie des larmes oxydées, la terre est épuisée sur plusieurs couches, pour des générations de couches et de langes.

Changer le court des choses est impossible, pas un groupe, pas un homme, pas une femme ne pourrait stopper le train en marche, un train infernal dont la locomotive est un produit des armées, nul ne pourrait faire dérayer cet engin de mort qui nous mène droit au mur de toutes les lamentations.

Nous n’éviterons plus l’accident de parcours, nous allons bel et bien nous encastrer contre cette enceinte faite de pierres pilleuses.
Dans cette vision d’un train fou nous aurions du déjà depuis des années décélérer pour réduire la gigantesque casse ; qu’avons-nous fait ?
Accélérer le rythme de la machine.

Le Moi triomphant
La publicité me pousse vers toujours plus d’individualisme, j’ai même vu une mère manger goulûment un paquet de biscuits et dire malicieusement à son enfant : « Je t’en ai laissé un.»
Si mon urine était un feu terrible je pisserai sur cet état d’esprit pour qu’il n’existe plus.

Tout le monde attend,
Les uns attendent le Messie, les autres un Messène, mais je ne vois que des Mesrine.
Il n’y a que l’insensé qui attend du fruit sous un arbre mort.

Alors je partirai, je m’enfuirai, oui, et je ne me retournerai pas, pourquoi ? Par ce que c’est avec la colère au cœur que je m’en irai, ces terres étaient les plus belles qu’il m’avait été donné de voir, ils ont saccagés mon paradis, de ce jardin d’Eden ils ont fait un jardin des haines et du dédain.
Je ne pleurerai pas les méchants, trop de fois en silence j’ai pleuré.
Je ne m’apitoierai pas sur vos parterres de tombes quand sur eux un fracas inimaginable s’abattra.

Nul n’est maudit, ce sont les gens par leurs actions répétées qui conduisent à ces cycles d’horreurs qui ont fait dire à quelques sentimentaux que le monde était maudit.
La vie est une réelle bénédiction, vivre c’est lutter, de cette lutte naît notre doute et nos forces.

Certains seront gênés par mon propos, c’est un fait il n’est pas léger, nous sommes en été, c’est les vacances, ils diront : « Tu nous irrite avec tes jérémiades ! »
Si par bonheur ils avaient ces mots je serai le plus heureux car ainsi la boucle serait bouclée, jérémiade est un néologisme construit à partir du prophète Jérémie, cela serait alors un plaisant hommage fait à mon texte.

A ceux qui croiraient que je me morfonds sur mon clavier, je répondrai d’une part, ne croyez pas les choses vérifiez les, deuxièmement sachez que pour donner plus de rythme aux écrits je me nourris de musiques enlevées, là c’est Prince avec Alphabet street.

Cette musique entraînante me pousse à plus d’entraînement physique.

1 2 3, partez !


Cyril C

FRANCE TEXTO / FRANCE IN TEXTO

Une France divisée en deux :
France texto / France in texto.

La France Texto c’est cette catégorie de gens qui sur Internet écrivent dans un langage aliéné, incompréhensible pour un français non initié aux techniques du multi-média ; ce fait inquiétant ne dérange personne.
Les moyens modernes de communications comme le SMS, le texto sont des façons de se joindre instantanément, souvent pour
Je suis sur le point de créer un dictionnaire franco:/ français tant les choses tournent à l'aigre au niveau du langage et sa compréhension.

La France est plus divisée encore, d'un côté la France texto, de l'autre la France in texto.
Ces derniers s'appliquant à faire vivre et perdurer cette si belle langue, tandis que les premiers n'ont de cesse de l'atrophier et l'aliéner, cela pour être bien souvent trop feignant pour prendre une minute de plus pour écrire deux mots correctement.

Le chaos c'est comme le bonheur, c'est petit à petit qu'on le construit.
L'Egypte des pharaons fait rêver, celle-ci rayonnait sur les terres proches et lointaines. Et puis.. et puis elle est tombé cette Egypte, son déclin a un jour sonné, cet exemple de civilisation pour le monde est resté des siècles et des siècles sans trouver une âme pour lire ce qu'elle avait écrit. Il fallut attendre Champollion pour que cette Egypte si magnifique retrouve un langage intelligible de tous.

'Moralité' ? : La chute d'une civilisation passe par l'aliénation de son langage.

Il faudra bientôt éditer un dictionnaire franco/français pour que tous se comprennent.


Cyril C

CHRONIQUE DE L'ALIENATION

Chronique de l’aliénation

« Vous vous brossez les dents tous les matins, pourquoi pas votre chien ? »
Ces mots proviennent d’un spot publicitaire pour des croquettes sensées nettoyer les dents des animaux domestiques.

Régis 38 ans Paris, père de deux enfants, on le retrouve devant la gazinière : «
Les femmes deviennent maintenant supérieures aux hommes. »

Un anonyme : « Tout ça c’est grâce au hasard »

Pub : « Elles auront le plaisir de vous offrir des cadeaux toute la journée. »


Cyril C

Des trucs et des machins

Des trucs et des machins

Je sui trop con, j’ai besoin de prendre des trucs et des machins pour de nouveau ressentir l’accélération d’une course dans la forêt, d’une chevauchée sur la falaise.
C’est le malaise, je ne sens plus mes jambes à mesure que ma tête se rempli de trucs et de machins.
Je veux courir, retrouver le goût de la chasse, l’odeur de la terre mouillée et celle du lapin que je traque.Je fais du sport dans une salle pour ne pas atrophier mes muscles engourdis par une vie d’abruti.
Je veux ressentir toutes ces excitations qui ont submergées ceux et celles qui traversèrent les millénaires pour nous faire nous.Pour me sentir vivre je saute à l’élastique, pour me sentir vivre j’ai besoin de me voir mourir.
Comme je ne chasse plus, comme je n’ai plu de prédateurs directs, sinon ces cailloux qui tournent et vont tout autour dans les cieux, j’ai fini de courser le gibier, et j’ai fini par m’assoupir.
Embrumée ma cervelle par les ficelles de ces demoiselles, envoûtée ma tronche devant ces tranches de vies offertes au sexe filmé et rémunéré.Je suis devenu un con, un comble pour cette Terre qui me comble.
Je prends des trucs et des machins pour oublier ces sinistres décombres enfouis à la hâte.

Cyril

Saturday, October 14, 2006

Entre samedi et dimanche

Bonjour à vous !

Je récupère un texte que j'ai d'abord tenté de poser (en vain semble t'il) sur un site dédié à l'actualité radio - je n'en prends pas ombrage, s'il est des sujets 'sensibles' ce n'est pas grave le Net est assez grand, c'est donc ici sur ces jolies pages noires que je viendrai poster ce qui n'est pas lisible ailleurs, je le répète, je ne vous en veux pas employés de ce site.
Un site est comme une maison qui nous invite, l'on se doit d'en accepter les règles.
J'ai bien fais d'amener ici mon texte car avec la pub que certains internautes ont faites pour cette adresse je m'attendais à des visites, mais pas à une réponse.
Merci bien à toi qui a laissé un méssage, c'est si rare, et pour cause, il faut être inscrit pour apporter son mot, j'envisage de bouger, cette obligation va à l'encontre de mes idées concernant 'l'expression numérique'.

Voici le texte posté ce matin :
Bonjour !

ROMAIN L'HOMME INVISIBLE ?

Je savais que les travaux sur l'invisibilité avançaient (véridique) mais j'ignorais que tout le spectre lumineux était 'domestiqué', Romain (SUD RADIO - Sud morning) me prouve le contraire, d'abord vendredi matin il disparaît de l'antenne, je n'ai pas voulu, et jusqu'à preuve du contraire, spéculer sur un éventuel rapprochement entre son évocation la veille de Dominique Bodis ; des propos qui n'allaient en rien à l'encontre de ce qui lui est demandé, il n'a commis aucune faute, si l'on considère les directives.
Il a chahuté DBodis mais avec art et manière.
Si Bodis n'est pas venu le vendredi matin c'est sans doute pour une raison de 'dernière minute' dans son agenda.
On en arrive à cette conclusion en prenant les faits, mais (il y a toujours un mais chez l'homme) on ne s'empêcher d'envisager d'autres possibles.

Et voilà qu'après cela, sur la L.A un message évoquant son absence s’évanouit du champ de vision, je te savais capé, tu as la cape du film c’est ça ?

Si j'écris c'est bien sûr pour avoir des réponses à ces différentes questions, merci d'avance.

L'occasion pour moi de saluer le travail de Romain Potter.

S'il est malade « complètement aphone » comme Coralie et Jérôme l'ont annoncé ça montre la différence entre les radios nationales et les régionales ; quelle différence ?
Les animateurs des matinales en natio' sont moins sujets aux maladies communes à tous (rhume, grosse fatigue, etc) par ce qu'ils se dopent !
C'est pour rire bien sûr, je ne sais quelle mouche m'a 'piquousé', veuillez m'excuser de cet sortie de route, je reprends ma ligne directrice et remonte sur les rails de la bonne conduite.

Sans transition aucune, Joel Collorado, Collado pardon sur France Info m'apprend qu'il a neigé dans les Pyrénées.
Il n'a fait aucune allusion au microclimat sur la capitale, un microclimat qui offre des "neiges éternelles".

A plus tard dans ce forum pas si poudre aux yeux !


Cyril C




Peut être est ce pour avoir écorché le nom de Joél C de Météo France que mon méssage n'a pas été publié - Rire (deux ou trois tentatives)


LES RAPPORTS HUMAINS
Quelques soient les attaques qui me sont faites, j'en connais la nature, ça a de suite un effet apaisant, sur Internet je ne suis pas dans l'émotionnel lorsque j'échange avec un groupe, ou des personnes qui n'existent que derrière mon écran. Je ris, parfois me désole, mais jamais, non jamais je ne m'énerve. Et si l'envie me vient parfois de faire taire un agaçant, je songe à l'immense chance que j'ai d'être né après guerre. En substance je rajouterai simplement cette phrase qui m'est venu en octobre 2000 : Je comprends pourquoi on a passé tant d'années sous l'occupation.
Je rencontre et reconnais tous les jours ceux et celles taillés dans le même bois que ceux qui vendaient, dénnonçaient les gens pendant la guerre.
L'occasion n'est plus pour ces larrons de malheurs.


Samedi 14 octobre
Il a fait beau aujourd'hui, le quartier résonnait du cri des enfants, au loin un match de rugby, des coups de sifflets pour retenir la fougue de ce début de saison ; ce soir à la salle des fêtes derrière le fronton ça chantera comme dans les Asterix.
J'ai vu mon ami Papillon, oui c'est possible, je ne dis pas (sans preuve) que c'est toujours lui qui vient tout prèt de moi mais ces évolutions aériennes tout prèt de moi sont les mêmes que le dernier qui est venu me voir.

Un papillon qui vient vous voir, dire cela aujourd'hui c'est passer pour celui que l'on n'est pas, un poète, un rêveur, un illuminé, un taré, un malade, un paumé, j'en passe et des pires.
Nous en sommes arrivés là, à ce jour où avoir un rapport amoureux avec la Nature est considéré comme une folie, pour d'autres une douce folie.

"Etre normal aujourd'hui c'est de plus en plus dur"

On aime ses semblables mais pas un insecte, il n'y a que les fous...
A quoi reconnaît-on les cons ? Ils ne doutent de rien, sont sûrs, pourquoi si sûrs ? Pour masquer leur grande ignorance. Plus je vais, plus j'apprends et plus tout se complexifie autour de moi, non pas un sac de noeuds qui grossirait, non l'image n'est pas adéquate, celle d'un livre extraordinaire qui offrirait une page immense à chaque mots écrits. Je vais dans le savoir et me réjouis toujours plus de ce voyage sans retour.
Les frontières n'existent que dans la têtes des gens, sans elles ils seraient perdus, car toute l'architecture mentale contenue dans leur boite cranienne repose sur celles-ci.
Trace un trait à la règle sur un tableau de classe, "il est parfait" dira le professeur, si tu le regardes à la loupe, sa perfection sera toute tordue, et les bordures de ce trait deviendront 'brouillard' au microscope.
Rien n'est noir, rien n'est blanc dans ce monde, tout n'est que nuance et graduations.

Nous aurions du écouter les animaux, les insectes, nous aurions du plus faire que leur voler leur techjniques avant de les faire disparaître, le parachute n'est pas une invention de l'homme, celle-ci était déjà dans la nature ; une toute petite araignée peut parcouruir des distances de plusieurs centaines de kilomètres, grace à son parachute, et ce fleuron de l'aviation moderne l'hélicoptère son plan de fabrication a été tracé après étude la libéllule.
Vous savez comment voleront les engins de demain ? Ils imiteront le vol du papillon.

Merci de votre attention.


Cyril C

Wednesday, October 11, 2006

STATION BREAK

Bonjour !


Sujet : Les "Radios libres"

STATION BREAK

« Libre, libre, libre » ils répèteront ce mot jusqu’à ce qu’il ne veule plus rien dire.

Programmes mis en boites, spitchs calibrés à la seconde, exil forcé des vrais impertinents, rédactions bâillonnées, changer un disque pour un autre dans la programmation établie équivaut à une mutinerie ; la radio libre est-elle une réalité ou simplement un slogan ?

Et si les seuls instants de liberté qu’avait connu la FM étaient dans cette période de ‘flou artistique’ où les pouvoirs publics n’avaient pas encore réagi face à ce nouvel engouement pour la radiodiffusion ? (Années 70, début 80)

Les animateurs sont libres, libres ?
Dans leurs propos ? Le droit de dire bite, couille, sodomie, sur tous les tons et toute la journée ?
Libre de se moquer des auditeurs, des vedettes qui font la une ?
Tu m'en parleras de cette liberté sous cellophane et codes barres.
La vulgarité n’est pas une liberté c’est un mode d’expression en France.

Liberté surveillée
La liberté d’expression est surveillée, dans la cour des grands, les gardiens surveillent, écoutent les conversations des prisonniers d’un système.


Libre de donner son avis ?
Les animateurs deviennent des gens comme les autres (…) ils s’impliquent dans les débats, les échanges d’idées. Ce n’est pas une liberté, puisque le fruit d’un calcul, celui qui s’implique joue souvent un jeu, le jeu de la provoc’, histoire de donner du ‘relief’ aux échanges.

Les journalistes ont gagné en liberté.
C’est absolument faux, et vérifiable à l’échelle nationale comme locale, les intéressés le savent bien, quelques uns sont sous la coupe de leurs responsables, ils se sont persuadés du contraire de ce que j’avance, la vérité est parfois dure à regarder en face.

Les écoles de journalisme font des beaux parleurs, on les injecte directement dans une grande rédaction, ça flatte leur ego, et les dirigeants se félicitent d’avoir une main d’œuvre sans exigences particulières.
Ils sont sans passé, sans expérience véritable, ils suivront le chef de rédaction lui-même suivant des consignes, ils suivront aussi le fil AFP, sans vérifier la véracité des dépêches.
Quand un va pirater l’AFP on va rire.

Qu’importe le traitement, l’analyse d’une information, nous sommes dans l’ère de l’instantané, plus le temps de comprendre, l’essentiel c’est d’être les premiers à donner cette info.
Interrogez des jeunes journalistes sur l’histoire, la politique, sortis des deux derniers thèmes qu’ils ont traités pour obtenir leurs diplômes ils n’ont pas grand-chose à vous apprendre.
Si je suis si vindicatif (pour certains) c’est par ce que j’ai un véritable respect pour cette profession.
Ce n’est en rien une attaque mais simplement une exigence qui devrait être un critère d’embauche dans une radio où la rédaction se veut on ne peut plus pointue.

La liberté de dire
Le, la journaliste peut désormais faire des commentaires après son flash, rire d’une info, s’indigner sur une autre, ai-je la liberté de dire que vos commentaires sont souvent malheureux et regrettables ?

Acceptez messieurs dames le jeu dangereux au quel vous vous adonnez, à la base, le, la journaliste se doit de rapporter une information, il a le devoir de s’effacer derrière celle-ci, ne pas prendre parti, ne pas donner d’avis, cela est une règle élémentaire de la profession..
Cette règle vous la transgressez, et vous vous indignez lorsque l’on pointe du doigt votre absence d’objectivité.
Tout cela au nom de la sacro-sainte déontologie, que vous brandissez comme un homme douteux brandit sa valise diplomatique lorsqu’il a été arrêté pour 3 feux rouges grillés.
La liberté a un prix, celui de votre carte de presse, le sésame qui fait de vous des intouchables, une caste à part.

Des privilèges qui devraient être révisés, oui, car si vous voulez jouer les présentateurs il faut revoir les règles du jeu et vos cartes.

Trop jeune pour…
Informer, tel est mon avis, à tout juste 20 ans on n’est pas en mesure d’avoir assez de recul sur l’information, c’est trop important, c’est un métier à grandes responsabilités, aujourd’hui les jeunes journalistes se moquent bien de grandir en connaissances, ils veulent être vedettes ; et quand bien même ils aimeraient le savoir (connaissance), dès leur premier salaire, la somme de travail demandée est telle qu’en rentrant le soir, ils n’ont qu’une envie, c’est tout couper, fermer, en un mot, dormir.
Ils entrent parfois dans une dynamique telle qui les empêche même de penser par eux même.


Des tubes en forme de barreaux
Des fenêtres musicales remplies de tubes identiques alignés comme des barreaux. Oh bien sûr on voit le paysage derrière mais ceux qui n’ont qu’un semblant d’idée sur ce qu’est la liberté se contentent de cette vision hachée du paysage musical.
Peut-on vraiment en vouloir à un qui n’a jamais connu que le lait en brique d’ignorer tout du goût du bon lait sorti de la vache.
Oui, ce qui arriverait avec le lait arriverait avec la musique, il aurait peut etre la nausée devant ce qu’il y a de meilleur et s’insurgerait pour qu’on lui redonne son ‘bibi’ de lait en poudre.

La liberté ce serait de pouvoir passer ce soir dans une émission le titre d'IAM la 25e image pour illustrer ces tueries dans les écoles.
Articuler une programmation autour de l’actualité, chaque jour offrir une heure de musiques ‘hors format’, ça serait une réelle liberté, ceci n’est qu’un exemple.

Mais ça aucun réseau ne le fera, aucune radio nationale n'ira modifier sa programmation, pré établie comme le menu d'une cantine scolaire qui ne sait faire rien d'autres que réchauffer des plateaux industriels nommés : nourriture.

Une radio associative, locale privée s'octroierait ce droit là.
On savait que le bonheur était dans le près, abriterait-il aussi les derniers bourgeons liberté ?


Battez-vous pour creuser des ‘meurtrières’ par lesquelles vous ferez passer un ou deux de vos bons disques.
Toute animatrice, tout animateur digne de ce nom; rêve d'exploser la forteresse dans laquelle il travaille, creuser des fenêtres par lesquelles il montrera aux auditeurs ses bons chois musicaux.
Je vous dois une explication, qu’est-ce qu’un ou une digne animatrice ? Un ou une animatrice qui pense par elle-même, qui a en résumé une vraie personnalité et non une boite crânienne en forme de moule à cake.

Je parle de ces personnes qui ont une culture, oui une vraie culture musicale, pas de ces lobotomisés qui ne savent pas qu'il y a autre chose que "le son pop rock" et qui sûrs d'eux pensent que la musique amplifiée est née début 80.

Et je ne suis pas passéiste en musique, mais je sais une chose, celles et ceux qui travaillent sur la musique de demain connaissent bien le jazz, le blues, le classique, e toutes ces autres musiques qui ont fait naître ce qui se joue aujourd'hui dans les clubs vraiment bien achalandés.

A plus tard dans ce monde pas si libre !


Cyril C

Sunday, October 01, 2006

L'écouter c'est le pied !

Cet homme joue admirablement bien de la guitare, il fait mentir l'expression populaire : 'jouer comme un pied' qui voudrait qu'un pied n'égale pas une main dans la dexterité.

FRENCH TOUCH

Longue robe

RADIO COUSERANS 3000 ANS...