LE 21e SIECLE SERA SPIRITE ET RITUEL
Le 21e siècle sera spirite et rituel
Esotériques et spirites se taillent la part du lion dans ces populations en quête de « spirituel ».
Ces lions sont les meneurs de ces fauves religions, faux prophètes qui séduisent par des rites sans ages ni sagesse.
Ils font tourner les tables, font tourner les esprits en bourrique, déstabilisent des gens déjà instables, ils parlent aux morts et ne répondent pas aux vivants, ils jettent des sorts, ramassent des sous, sont en dessous de tout et restent au dessus de tout soupçons pour leurs nouveaux adeptes.
Ils incarnent le ou la magicienne qui a nourrit l'imaginaire des enfants qu'ils étaient.
Depuis des millénaires la ruine a été annoncé, non par pas ces sinistres voyants qui devinent des conspirations dans les constellations, mais par des hommes et des femmes qui avaient une grande connaissance de la nature humaine, le visionnaire applique ce principe : Voir c’est prévoir.
Ecartées ! toutes ces puteries véhiculées par les cartes.
Tout est empoisonné, les rivières, les mers, le ciel larmoie des larmes oxydées, la terre est épuisée sur plusieurs couches, pour des générations de couches et de langes.
Changer le court des choses est impossible, pas un groupe, pas un homme, pas une femme ne pourrait stopper le train en marche, un train infernal dont la locomotive est un produit des armées, nul ne pourrait faire dérayer cet engin de mort qui nous mène droit au mur de toutes les lamentations.
Nous n’éviterons plus l’accident de parcours, nous allons bel et bien nous encastrer contre cette enceinte faite de pierres pilleuses.
Dans cette vision d’un train fou nous aurions du déjà depuis des années décélérer pour réduire la gigantesque casse ; qu’avons-nous fait ?
Accélérer le rythme de la machine.
Le Moi triomphant
La publicité me pousse vers toujours plus d’individualisme, j’ai même vu une mère manger goulûment un paquet de biscuits et dire malicieusement à son enfant : « Je t’en ai laissé un.»
Si mon urine était un feu terrible je pisserai sur cet état d’esprit pour qu’il n’existe plus.
Tout le monde attend,
Les uns attendent le Messie, les autres un Messène, mais je ne vois que des Mesrine.
Il n’y a que l’insensé qui attend du fruit sous un arbre mort.
Alors je partirai, je m’enfuirai, oui, et je ne me retournerai pas, pourquoi ? Par ce que c’est avec la colère au cœur que je m’en irai, ces terres étaient les plus belles qu’il m’avait été donné de voir, ils ont saccagés mon paradis, de ce jardin d’Eden ils ont fait un jardin des haines et du dédain.
Je ne pleurerai pas les méchants, trop de fois en silence j’ai pleuré.
Je ne m’apitoierai pas sur vos parterres de tombes quand sur eux un fracas inimaginable s’abattra.
Nul n’est maudit, ce sont les gens par leurs actions répétées qui conduisent à ces cycles d’horreurs qui ont fait dire à quelques sentimentaux que le monde était maudit.
La vie est une réelle bénédiction, vivre c’est lutter, de cette lutte naît notre doute et nos forces.
Certains seront gênés par mon propos, c’est un fait il n’est pas léger, nous sommes en été, c’est les vacances, ils diront : « Tu nous irrite avec tes jérémiades ! »
Si par bonheur ils avaient ces mots je serai le plus heureux car ainsi la boucle serait bouclée, jérémiade est un néologisme construit à partir du prophète Jérémie, cela serait alors un plaisant hommage fait à mon texte.
A ceux qui croiraient que je me morfonds sur mon clavier, je répondrai d’une part, ne croyez pas les choses vérifiez les, deuxièmement sachez que pour donner plus de rythme aux écrits je me nourris de musiques enlevées, là c’est Prince avec Alphabet street.
Cette musique entraînante me pousse à plus d’entraînement physique.
1 2 3, partez !
Cyril C
Esotériques et spirites se taillent la part du lion dans ces populations en quête de « spirituel ».
Ces lions sont les meneurs de ces fauves religions, faux prophètes qui séduisent par des rites sans ages ni sagesse.
Ils font tourner les tables, font tourner les esprits en bourrique, déstabilisent des gens déjà instables, ils parlent aux morts et ne répondent pas aux vivants, ils jettent des sorts, ramassent des sous, sont en dessous de tout et restent au dessus de tout soupçons pour leurs nouveaux adeptes.
Ils incarnent le ou la magicienne qui a nourrit l'imaginaire des enfants qu'ils étaient.
Depuis des millénaires la ruine a été annoncé, non par pas ces sinistres voyants qui devinent des conspirations dans les constellations, mais par des hommes et des femmes qui avaient une grande connaissance de la nature humaine, le visionnaire applique ce principe : Voir c’est prévoir.
Ecartées ! toutes ces puteries véhiculées par les cartes.
Tout est empoisonné, les rivières, les mers, le ciel larmoie des larmes oxydées, la terre est épuisée sur plusieurs couches, pour des générations de couches et de langes.
Changer le court des choses est impossible, pas un groupe, pas un homme, pas une femme ne pourrait stopper le train en marche, un train infernal dont la locomotive est un produit des armées, nul ne pourrait faire dérayer cet engin de mort qui nous mène droit au mur de toutes les lamentations.
Nous n’éviterons plus l’accident de parcours, nous allons bel et bien nous encastrer contre cette enceinte faite de pierres pilleuses.
Dans cette vision d’un train fou nous aurions du déjà depuis des années décélérer pour réduire la gigantesque casse ; qu’avons-nous fait ?
Accélérer le rythme de la machine.
Le Moi triomphant
La publicité me pousse vers toujours plus d’individualisme, j’ai même vu une mère manger goulûment un paquet de biscuits et dire malicieusement à son enfant : « Je t’en ai laissé un.»
Si mon urine était un feu terrible je pisserai sur cet état d’esprit pour qu’il n’existe plus.
Tout le monde attend,
Les uns attendent le Messie, les autres un Messène, mais je ne vois que des Mesrine.
Il n’y a que l’insensé qui attend du fruit sous un arbre mort.
Alors je partirai, je m’enfuirai, oui, et je ne me retournerai pas, pourquoi ? Par ce que c’est avec la colère au cœur que je m’en irai, ces terres étaient les plus belles qu’il m’avait été donné de voir, ils ont saccagés mon paradis, de ce jardin d’Eden ils ont fait un jardin des haines et du dédain.
Je ne pleurerai pas les méchants, trop de fois en silence j’ai pleuré.
Je ne m’apitoierai pas sur vos parterres de tombes quand sur eux un fracas inimaginable s’abattra.
Nul n’est maudit, ce sont les gens par leurs actions répétées qui conduisent à ces cycles d’horreurs qui ont fait dire à quelques sentimentaux que le monde était maudit.
La vie est une réelle bénédiction, vivre c’est lutter, de cette lutte naît notre doute et nos forces.
Certains seront gênés par mon propos, c’est un fait il n’est pas léger, nous sommes en été, c’est les vacances, ils diront : « Tu nous irrite avec tes jérémiades ! »
Si par bonheur ils avaient ces mots je serai le plus heureux car ainsi la boucle serait bouclée, jérémiade est un néologisme construit à partir du prophète Jérémie, cela serait alors un plaisant hommage fait à mon texte.
A ceux qui croiraient que je me morfonds sur mon clavier, je répondrai d’une part, ne croyez pas les choses vérifiez les, deuxièmement sachez que pour donner plus de rythme aux écrits je me nourris de musiques enlevées, là c’est Prince avec Alphabet street.
Cette musique entraînante me pousse à plus d’entraînement physique.
1 2 3, partez !
Cyril C
0 Comments:
Post a Comment
<< Home