H.E.L.E.N.E
Hélène
Le matin, tu me réveilles
Le soir tu me surprends
À midi je pense à toi
Je n’ai pas mal au ventre
Je ne pense pas à ton bas-ventre
Pas de tour, je ne mens pas
Je ne souffre pas le tourment des amants
Mon désir, s’arrête bien plus haut
Que les bas regards sur toi. .
Je t’aime comme un enfant,
Je veux ton visage et tes mains.
Tes doigts sur mes cils,
Ton nez contre mon nez.
Tes yeux dans mon coup
Et tes cheveux partout
Je suis donc en infraction avec un commandement,
Mais ces choses là ne se commandent pas.
J’ai la loi contre moi
Je te convoite trop pour les ‘rouleaux’.
Pour les badauds je finirais sous le rouleau.
« Le compresseur sera ton fossoyeur ».
Ce qu’ils ignorent,
Je t’aime plus que je ne te désire.
Tu n’es pas objet de convoitises,
Pas plus que de bêtises.
Tu es ‘convois exceptionnel’.
Je parle escorte, et non écorce.
Précieuse comme le ventre de 100 galions,
Trésor, tu éteins Alfa du centaure.
Périlleuse comme l’antre d’un dragon,
Des efforts je fais pour avancer sans tort.
Centaure je me voudrais pour t’enlever.
Je t’aime des époux antiques aux époques quantiques.
« Il veut te mener en bateau ! »
Je voudrais te mener en vaisseau.
Du planché des océans au parterre des anges.
Du plancton à Pluton en passant par Platon.
Te faire tout connaître, tout voir.
Dans tes yeux contempler la Grande Maison.
Par ce que nous n’aurons jamais mille et une nuit à nous.
Par ce que les contes sont défaits
Par ce que les tapis sont brûlés
Par ce que les lampes sont brisées.
Je ne te conterai plus les miels des palais sablonneux.
Mais rassure-toi mon étoile, faute de tapis,
Je me ferai ‘ami volant’.
Je continuerai à te porter au firmament.
Petite étoile, tu mènes ma voile
Tu rythmes ma vie
Tu arrimes mes envies.
Tu es si loin et si près à la fois.
Cyril C
Le matin, tu me réveilles
Le soir tu me surprends
À midi je pense à toi
Je n’ai pas mal au ventre
Je ne pense pas à ton bas-ventre
Pas de tour, je ne mens pas
Je ne souffre pas le tourment des amants
Mon désir, s’arrête bien plus haut
Que les bas regards sur toi. .
Je t’aime comme un enfant,
Je veux ton visage et tes mains.
Tes doigts sur mes cils,
Ton nez contre mon nez.
Tes yeux dans mon coup
Et tes cheveux partout
Je suis donc en infraction avec un commandement,
Mais ces choses là ne se commandent pas.
J’ai la loi contre moi
Je te convoite trop pour les ‘rouleaux’.
Pour les badauds je finirais sous le rouleau.
« Le compresseur sera ton fossoyeur ».
Ce qu’ils ignorent,
Je t’aime plus que je ne te désire.
Tu n’es pas objet de convoitises,
Pas plus que de bêtises.
Tu es ‘convois exceptionnel’.
Je parle escorte, et non écorce.
Précieuse comme le ventre de 100 galions,
Trésor, tu éteins Alfa du centaure.
Périlleuse comme l’antre d’un dragon,
Des efforts je fais pour avancer sans tort.
Centaure je me voudrais pour t’enlever.
Je t’aime des époux antiques aux époques quantiques.
« Il veut te mener en bateau ! »
Je voudrais te mener en vaisseau.
Du planché des océans au parterre des anges.
Du plancton à Pluton en passant par Platon.
Te faire tout connaître, tout voir.
Dans tes yeux contempler la Grande Maison.
Par ce que nous n’aurons jamais mille et une nuit à nous.
Par ce que les contes sont défaits
Par ce que les tapis sont brûlés
Par ce que les lampes sont brisées.
Je ne te conterai plus les miels des palais sablonneux.
Mais rassure-toi mon étoile, faute de tapis,
Je me ferai ‘ami volant’.
Je continuerai à te porter au firmament.
Petite étoile, tu mènes ma voile
Tu rythmes ma vie
Tu arrimes mes envies.
Tu es si loin et si près à la fois.
Cyril C
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